Tous les albums
Locomotive Ecce omo — Fouille accord du lambda
Musique lyrique
Papitruc

Nicolas Bruche — Guirouxenko

Guirouxenko

Date de sortie : mercredi 27 mai 2009.

Un album de toute beauté, vous revivrez. Mmmhh ? Oui oui, c’est ça. C’est ainsi qu’on pourra qualifier une émergence rebondissatoire tout en nivelant le propos. Mmmh ??? Toujours pas ?? Pourquoi ne pas en faire autant ? Buvez un litre de cognac avant d’écouter cet album, et dansez à votre guise en effectuant un V-step sur tous les septièmes temps de chaque troisième mesure de chaque pont. Ainsi, vous découvrirez peut-être ce qu’est le « Guirouxenko » (prononcez Gui-rou-tcheng-ko)… Un tout nouveau brand new album plein de bonnes choses pour votre chien-chien, qui va tout dévorer, qu’on peut pas comprendre pourquoi (parce que ça a l’air bien dégueulasse) mais que c’est vachement bon pour lui… Bon toutou.

Pour obtenir une copie numérique de cet album, envoyez-moi un message à <nbruche@riseup.net>. Vous êtes autorisés à copier cet album et à le distribuer, tant que l’utilisation n’est pas commerciale, sous condition d’indiquer les auteurs et de respecter la licence.

Licence Creative Commons

Crédits

Pochette

cover/a.jpg

cover/b.jpg

cover/c.jpg

cover/d.jpg

cover/e.jpg

Textes

1. Unixor

(Nicolas Bruche) 8:08

Revenir à la liste des titres.

**Rémy Galichet**
Euh… vous dégagez s’il vous plaît.

**FI**
Il est d’combien l’salaire, là ? On va dire ça comme ça, hein ? C’est
un album pour toi, là, hein ? Enfin ché pas c’que t’en dis ?

**NB**
Ché pas moi, qui c’est qui fait les cuivres ?

**RG**
Hé, faut qu’j’ailles chez Madani, là.

**Sébastien Calpas**
Hé, franchement, j’ai… j’ai rien en tête, Faïcel. Nan mais franchement
Faïcel, j’ai rien en tête. Tu enregistres, là ? Tu enregistres ? Et…

Nan mais, après, après vous allez faire quoi, en fait, avec la voix ?
Vous… vous allez la travailler ?

**FI**
Après, on va rien travailler du tout.

Bonjour, alors ici le juge euh… Montalbot, hein, c’est le… Montalbot,
le juge Montalbot. Donc euh… suite à l’affaire donc euh… N 226, donc
du… code civil, hein, code civil pénal. Heu… concernant donc euh…
Rachid Idrissou contre Bielmann. Rachid Idrissou contre Bielmann,
hein, donc heu, j’vous rappelle un peu les faits. Donc ça s’est passé
place de la République le 14 juillet, euh… à la suite d’une
altercation entre Idrissou et Bielmann. Donc c’était un combat quand
même qui était heu… qui était d’une grande… et rare… rare violence,
parce que ça s’est… donc ça s’est passé au nunshak’ hein, nunshaku. Au
nunshak’, hin hin hin hin hin hin ! Ça s’… hin hin hin ! N’importe
quoi ! Ça s’est p… mais j’continue quand même, c’est pas grave. Euh…
ça s’est passé au nunshak’ ! Donc euh… Bielmann, un nunshaku. Rachid
Idrissou, donc euh… un katana, hein donc il avait un… un sabre euh… un
sabre asiatique katana, donc ça a flashé dans tous les sens, hein. Ils
s’sont flashés la gueule. Euh… et c’est moi, donc le juge euh…
Montalbot, qui euh… qui suis chargé d’l’affaire. Donc euh… en rapport
à… Tréfimétaux. Et donc à ce qu’on m’a demandé de… de bien vouloir
fournir, en matière, hein, tsé comme ça l’mec, en matière de… de
travail, hein ! Tsélmec, y s’énerve, gros ! En matière de travail !
Parce que moi je n’pense… je n’pense plus. Je n’pense plus que cela
puisse s’arrêter un jour. OK ? Bon tsélmec qui a raconté n’importe
quoi. À plus tard, ciao !

**SC**
Ouais j’vais… j’vais chanter comme, comme Whitney Houston, en fait,
hein ?

2. Trumpet castraman

(Nicolas Bruche) 2:21

Revenir à la liste des titres.

**Sébastien Calpas**
J’vais chanter comme… comme Whitney Houston. Hein ? Sur un… sur un
podium avec des talons …

**FI**
Oui allô, allô, allô, allô. Tsélmec. Bon, allô. C’est… c’est Miloud.
Bon euh… Miloud… Ben… Ben Muslim. Tsélmec. Miloud Ben Muslim. Bon chui
un peu malade, mais bon. C’est Faïcel, là. Tsélmec. Y s’présente 3
fois. C’est Miloud ! Donc heu… là j’vais manger un Snickers, là.
Attends hein… Je croque. Tsélmec, il appelle pour rien dire, gros. Je
mange un Snickers, attends je croque, c’est Miloud ! Ben Mousseline.
Ben… Mü… Müsseline. Tu vois. Ti vois quoi ? Tu sais l’mec, ti vois.
C’est pas « tu vois », c’est « ti vois ». Ti vois, quoi ? Tèch’ tu,
quoi. Ti vois. Hein ? Mais c’est bon en fait, tsélmec ? Bon. J’arrête
de raconter mes conneries. J’t’appelais pour euh… j’t’appelais pour
ça. Tu sais l’mec, j’t’appelais pour ça. Bon j’te rappelerai plus
tard, allez, à tantôt.

**SC**
… et une coupe bizarre. Hein ? Ou Maria Carrey.

**FI**
Hhh !

**SC**
Mh, hh… hé hé hé !

3. Zen — Jeune rêveur (Torchinsky remix)

(Baptiste Auric / Nesrine Ghalmi / Nicolas Bruche) 2:45

Revenir à la liste des titres.

J’reste un jeune rêveur qui s’pose plein d’questions
À commencer par toutes ces théories sur l’évolution
Si l’singe devient homme, est-il en voie d’extinction ?
Et l’homme peut-il un jour stopper ses désirs d’expansion ?

Extorsion d’une nature en mal de notre orgueil
(Young dreamer)
J’vois des lingots en glaçon car l’eau sera notre or bleu
Ce liquide prendra son sens dans ton portefeuille
Ce sens me dit qu’l’univers est un immense trompe-l’œil

La partie visible de l’iceberg brille comme une étoile
Au d’là du vide l’infini largue sa grande voile
Comment concevoir quelquechose sans fin ?
Notre conscience peut-elle s’élargir jusqu’au divin ?

Young dreamer

Notre existence est trop courte pour que l’on comprenne
Ces distances astronomiques, voit sur Terre, trop d’cons s’gênent
Ça m’consterne, alors j’explore de ma plume
Ces contrées lointaines qui de mon esprit s’exhument

Rêves et réflexions d’un être qui s’demande pourquoi
La complexité des arbres au simple pourboire
Excité par un idéal qui déploie toutes ses saveurs
Comme des jours meilleurs sur la route de ce jeune rêveur

Young dreamer, hou hou, men, hou hou

Dans mes rêves, j’me d’mande quelles sont nos origines
Adam pine Ève, cette pauvre petite orpheline
Ils ont eu la chance de s’croiser dans c’vaste monde
De pas mourir de froid avec une feuille en guise de caleçon

Alors ne serait-ce pas la légende d’un jeune rêveur
Qui avant l’heure a voulu donner au peuple un peu d’bonheur ?
D’ailleurs, quels étaient leurs loisirs et passe-temps
(Passe-temps) (x4)
Y’avait-il de la musique et des pas de danse ?

De l’antiquité au Moyen-Âge, se tordant de douleur
Car pas d’antibiotique en cas d’rage de dent, pleure !
Est-ce que les scènes de ménage donnaient des tragédies ?
Étaient-ils obscènes et moches, sans chirurgie

Maintenant nos modèles virtuels inondent nos songes
Nos rêves sont-ils les mêmes après tant de pollution ?
Tant de questions auxquelles je n’ai d’réponse
Et quelles séquelles aurai-je plus tard si j’y renonce ?

Passé, présent, futur, tous éphémères, nos rides
accompagnent l’histoire et ses éphémérides
Quelle est cette notion abstraite du temps qui passe
Comme un vent nostalgique, qui de fait nous enlace ?

J’rêve une fois d’plus de traverser les époques
Comprendre le début, voir le but de notre épilogue
Un jour, j’serai à nouveau poussière d’étoile
À l’était brut de la matière où les secrets s’dévoilent

Hou, hou, hou, hou
Dreamer, hou hou hou hou

**NB**
Nan mais… j’aime bien c’que tu fais, hein ?

**FI**
Oui oui, bonjour monsieur Bruche. Donc là, j’étais, comment dire à…
chui à Athènes, hein. Hein euh… chui à Athènes aux J.O. . Donc
j’étais, comment dire, sur les barres parallèles, là où y’a euh…
Rachid Idrissou qui représente la… la Turquie ! Y r’présente Istanbul.
Istanbul, hein ! Y r’présente Istanbul. Là donc, il a… il nous a fait
une… double sortie en vrille… carpée, hein ! Vrille carpée, donc euh…
C’était magnifique. Il obtient une note de 9,75 , 975 et 9,75.
Tsélmec, n’importe quoi. 975, hein ? Bon, c’est une note qui existe
pas. Ça, ça n’existe pas, mais bon, c’est pas très grave.

Ouais, j’ai composé un nouveau morceau, là il est… il est bien, mais
j’aimerais bien qu’tu… qu’tu l’écoutes, donc pour qu’tu m’dises un peu
c’que… c’que t’en penses ?

4. Couleur mentalo (version Michel Legrand)

(Eddy Mitchell / Pierre Papadiamandis / Nicolas Bruche) 4:13

Revenir à la liste des titres.

Elle était maquillée
Comme une star de ciné
Accoudée au juke-box
Da-ba-dou-da
Elle rêvait qu’elle posait
Juste pour un bout d’essai
À la Century Fox
Da-ba-dou-da

Elle semblait bien dans sa peau
Ses yeux couleur « menthe à l’eau »
Cherchaient du regard un spot
Le dieu « Projecteur »
Et moi je n’en pouvais plus
Bien sûr elle ne m’a pas vu (x2)
Perdue dans sa mégalo
Moi j’étais de trop

Elle marchait comme un chat
Qui méprise sa proie
Où frôlant le flipper
Da-ba-dou-da
La chanson qui couvrait
Tous les mots qu’elle mimait
Semblait briser son coeur
Da-ba-dou-da

Elle en faisait un peu trop
La fille aux yeux « menthe à l’eau »
Hollywood est dans sa tête
Toute seule elle répète
Son entrée dans un studio
Décor couleur « menthe à l’eau » (x2)
Perdue dans sa mégalo
Moi je suis de trop

(tutti)

Mais un type est entré
(Bonjour !)
Et le charme est tombé
Arrêtant le flipper
Da-ba-dou-da
Ses yeux noirs ont lancé
De l’agressivité
Sur le pauvre juke-box
Da-ba-dou-da

La fille aux yeux « menthe à l’eau »
A rangé sa mégalo
Et s’est soumise aux yeux noirs
Couleur de trottoir
Et moi je n’en pouvais plus
Elle n’en a jamais rien su
Ma plus jolie des mythos
Couleur « menthe à l’eau »

**NB**
Mais, j’aime bien c’que tu fais, hein.

**FI**
Salut Nico, c’est Faïcel à l’appareil. Heu… écoute, j’t’appelais pour
te souhaiter une bonne…, une super, super année. Sss… à tous les
niveaux : musicalement, sentimentalement, heu… cordialement, tsélmec
qui sait plus quoi dire, cordialement, vigoureusement, vigoureusement,
pis parfaitement. Tsélmec, donc y’a tous les mots. Et puis heu…
enchantement. Tsélmec. Bon hé, j’vais arrêter mes conneries. Euh…
j’t’appelais pour te donner mon nouveau numéro de téléphone : 06…, et…
et voilà. Hein ? Voilà. C’est mon nouveau numéro de téléphone : 06…
j’crois. Écoute gros, tu me… tu m’appelles, et puis heu… on s’fait une
bouffe. Hein ? Hin-hin-hun-han !

Ouais, mais attends, tu vas l’écouter, tu vas m’dire juste après. Éc…
écoute un tout p’tit peu, là.

5. Trumpet man

(Nicolas Bruche) 1:59

Revenir à la liste des titres.

**NB**
Mais j’ai… tsé j’aime bien c’que tu fais, hein… Ouais c’est… J’aime
bien.

Ouais, Faïcel, ben écoute, c’est Nico, encore. Euh… Ts. C’était pour
te donner plus de précisions par rapport à tout à l’heure, parce que
j’ai été un peu vite tout à l’heure. J’t’ai peut être pas donné assez…
assez de précisions, quant à la destination de ton… de ton retour euh…
parisien. Donc euh, voilà je te… donne effectivement l… la direction
du RER. Donc euh… il s’agit de… quand t’arrives à Orly-Sud, y’a un
truc qu… c’est Orly-Bus ou ché pas quoi, qui va jusqu’à Anthony. Donc
ça euh… je sais pas exactement la destination, mais ça doit s’appeler
le Orly-Bus ou… quelquechose comme ça. Je regarde encore sur l’autre
plan… Ouais, c’est pas indiqué, donc c’est certainement le bus à Orly
qui va jusqu’à Anthony. Donc tu prends Anthony. Après Anthony, tu
prends euh… le D. Le D direction « Aéroport Charles de Gaulle /
Mitry-Claye ». Voilà. Euh… et tu descends à… tu descends à… « Châtelet
/ Les Halles ». Et après, ben c’que j’t’ai dit, c’était bon pour le
reste : « Châtelet / Les Halles », tu prends « Réaumur / Sébastopol »
jusque la 4, et euh… « Réaumur / Sébastopol », tu prends la 3
direction « Gallieni ». Enfin… aux Halles, tu prends « Porte de
Clignancourt » direction… la 4, direction euh… « Porte de
Clignancourt ». Tu t’arrêtes à « Réaumur / Sébastopol », et après tu
prends la 3, direction « Gallieni », « Gambetta ». Voilà, c’est… c’est
vraiment le… le max’ de précisions. De c’qu’on peut dire, hein, on
peut appeler ça dans le jargon euh… sss… tu vois, le jargon de hein
euh… Guy Routchenko. Voilà, bon écoute euh… Bon, bon vol ! T’es
bientôt arrivé, là, j’pense. Et pis à… ss… Hasta la vista euh…
Santiago euh… de popoulos euh… de mañana. Allez, ciao hein. Ciao
vieux ! À bientôt.

**FI**
Et… qu… qu’est-ce… qu’est-ce tu penses du passage, là ?

6. Un d’Chaque — IDFM remix

(Nicolas Bruche) 2:24

Revenir à la liste des titres.

**Présentateur**
Un d’Chaque est dans… les studios… sur IDFM Radio Enghien. On
commence… par la gauche. Je crois que c’est Tedji ?

**Tedji**
Ça va, très bien, ouais !

**P**
Bonjour Tedji, ça va bien ?

**T**
Voilà. Bonsoir.

**P**
Après, on a Laurent ?

**Laurent**
Bonjour.

**P**
Le bassiste.

**L**
Je ne sais plus.

**P**
On peut entendre la basse ?

**L**
(pi-dip)

**Yvan**
Ah oui, c’est une basse. C’est incroyable.

**P**
Après, y’a Yvan ?

**Y**
Bonjour.

**P**
Dans l’ordre… du tour de table.

**Y**
C’est la batterie.

**P**
Yvan… euh… toi, c’est la batterie ?

**Y**
Oui !

**P**
Et puis euh… un peu l’manager.

**Y**
Un peu l’man… oui, enfin… ff.

**T**
Le chef !

**Y**
Exactement.

**P**
OK. Après euh… saxophoniste, non trompettiste, c’est Nicolas.

**Nicolas**
Ouais, bonjour.

**P**
Bonjour Nicolas, enchanté. Et donc, après, saxophoniste, Matthieu.

**Matthieu**
Aïe-aïe-aïe…

**P**
Il en manque un : un autre Mathieu. Et l’autre Mathieu, il fait quoi ?

**Y**
Il est en vacances chez ses parents.

**P**
Et mais sinon, il fait du piano.

**Y**
Il fait du piano, voilà. Ha ha ha ha ha…

**T**
Il manque aussi euh… l’ingé son, Vinson qui fait partie de l’équipe.

**Y**
Effectivement.

**T**
Et pis le mec qui fait des lumières, mais ici, on avait vraiment pas
besoin de lui : José. Voilà.

**P**
Et merci José.

**N**
Ouais. Bonjour.

**P**
Bonjour Nicolas, enchanté.

**NB**
Hé, mais j’aime bien c’que tu fais, hein.

**FI**
Oui, alors… Hein ? Bon Nico, c’est… Jean-Luc. C’est Jean-Luc euh…
Wrobleski. Jean-Luc Wrobleski à l’appareil, là, hein ? Et donc,
j’t’appelais au sujet d’la citerne. Donc la citerne, là, il faut qu’on
la remplisse, parce que là, il commence à faire un peu frais, là euh…
Sss… C’qui veut dire que… Fff. Moi, j’avais appelé Nono. J’ai appelé
Nono et Titi. Bah, les mecs, tu sais, des fois… ils viennent, des fois
ils viennent pas. Donc après, je sais pas c’qu’ils font. Hein ?
C’était marqué dans l’Ardennais qu’ils devaient venir ! Mais bon,
après, je sais pas comment ça s’goupille chez eux. Euh… J’savais
qu’ils… devaient aller chercher des œufs à la ferme, là ! Bon
maintenant, prt. Je sais pas. Je sais pas c’qu’il en est ! Hein ? Sur
ce… tschüss, vieux loustic ! Allez !

Ouais, non, mais c’est… bon euh… j’ai essayé d’faire un… un peu jazz…
standard euh…

**NB**
Nan mais, c’est bon hein ! Euh… j’aime bien c’que tu fais.

**FI**
Nan nan, mais c’est… J’ai joué avec Nicolas Bruche !

**NB**
C’est… c’est bon c’que tu fais, hein euh… Mais j’connais Nicolas
Bruche !

8. Nanab au zoo

(Nicolas Bruche) 3:01

Revenir à la liste des titres.

Carla
Raoulaimé
Veut pas se faire chier
Elle aime pas ça
Dans son panier
C’est tout mouillé
Ça la dérange pas
Oui c’est super sympa

Elle prend ses clés
Va au marché
Une envie soudaine
Des envies saines
De brocolis
Elle réfléchit
Je veux que ça dure
Oui des carottes bien mûres

Elle trace au zoo
Voir son copain
Nanab le lapin
C’est un renzo
Dans son minou
S’enfoncent les clous
Nanab se régale
Cependant en aval

Guy Routchenko (x2)
Le proprio
A vu toute la scène
Y se ramène
Hé ! la Marie
Fais gaffe ça fuit
Tu vas te taper
Des traces d’humidité

Mon chien Sarckot
(Sarckot enculé)
L’est pas content
Que tu foutes de l’eau
Partout partout partout
J’suis l’gros salaud
De ce putain de zoo

Chou bi dou wa
Rrra pa to ku
Koulich koulich mach
Blém pa to gué
Goulou rass’ mu
Kabi fa pécor

**FI**
Et là, t’aimes bien c’que j’fais, là ?

**NB**
Non mais, j’connais Nicolas Bruche.

**Fred**
Quelle conne, quoi ! C’est pas vrai ! (tut-tut) Avance un peu,
bordel ! Vraiment, hein… faut être con, hein…

**FI**
Bonjour… Hhh… ha ha ha ha !

9. Trumpet woman

(Nicolas Bruche) 1:43

Revenir à la liste des titres.

**NB**
Ouais, ouais. Ben, kesse tu penses du passage, là ?

**FI**
Ouais Nico, c’est Faïcel, là. Bon, j’t’appelais pour un… p’tit message
très bref. C’était juste pour te dire que t’es cinglé. Hein ? Tu sais
qu’t’es fou. T’es un fou. Tu sais pourquoi ? Parce que j’suis en train
d’écouter « The commercial side of Nicolas Bruche », mais volume 1, tu
vois. Sss… Et… y’a des morceaux, c’est du n’importe quoi quand même,
hein ? Même si c’est super bien structuré, mais c’est… c’est du
n’importe quoi. Enfin voilà quoi. Aaallez hop !

Bon, tu vas écouter quand même la… la p’tite musique qu’on t’a faite,
et puis tu nous diras c’que t’en penses ?

10. Pov’ con

(Nicolas Bruche) 4:01

Revenir à la liste des titres.

Je peux pas dire que j’t’adore
Car t’es un pov’ con
On a pas la même vision des choses
Comme t’es un pov’ con
Pourtant on est partis en vacances
Tous les deux on a quitté la France
Pendant six s’maines

T’as foutu un beau bordel
Espèce de pov’ con
Ton mot d’ordre c’est d’te fair’ un max d’oseille
Le crédo des pov’ cons
Pourtant on a trait les vaches ensemble
T’en as même pris une par derrière
Car moi j’étais pas encore prêt pour ça

T’as des goûts de chiotte de merde
En tant que pov’ con
T’es puant, t’es l’opportunisme même
Oui t’es un pov’ con
Ton QI avoisine 2
En plus de pov’ con
Franch’ment le monde mérit’rait mieux que de
Voir ta gueule de pov’ con
Pourtant on s’est pris une charge hier
T’as gagné au concours de c’ui qui
Pisse le plus loin

**FI**
Et là, t’aimes bien c’que j’fais, là ?

**Rémy Galichet**
C’est quoi, là, d’cette version ?

**FI**
C’est un album pour toi…

**RG**
Ça a pas l’air de t’plaire ?

**FI**
C’est… spécialement pour toi.

**RG**
Vous dégagez, s’il-vous-plaît !

**FI**
Un jour ou l’autre, faudra l’enfermer. Il va terminer en brochette. Ça
va être une brochette de merguez.

(Guy Routchenko…)

On va l’faire griller comme un p’tit poulet. Parce qu’il s’est foutu
d’ma gueule. C’qu’il a envie d’faire, c’est d’te couper les cheveux
avec une tronçonneuse. Hein ?

(Fils de pute… Dernier des fils de pute…)

J’te foutrais bien sur la gueule
Ta gueule de pov’ con
Mais j’ai peur de casser tes Ray-Ban
Tes Ray-Ban de pov’ con
T’es très fier de ta Rolex
Vu qu’t’es un pov’ con
Tu la mérites, t’as réussi ta vie
Cass’ toi pov’ con
Au moins t’as le même prénom que moi
Comme quoi t’as des bons côtés parfois
Désespère pas

**FI**
C’est bon là ?

Oui, allô euh… Bonjour, c’est… Rachid Idrissou, euh… J’voulais parler
à… j’voulais parler à Aziz Zidane. Hein ? Ouais, allô Aziz, c’est ça,
Aziz Zidane… En direct du stade. Du stade Berthelot, hein ! C’est des
conneries, hein. Tsélmec. C’est des conneries. Bon, j’t’appelais pour
te dire… Tu m’as reconnu ou quoi ? Tch… Hein ? Bon c’est Faïcel, là.
Hm hm. Tsélmec il se représente, hein. J’t’appelais pour te dire
qu’j’étais en train d’écouter un d’tes morceaux, et… devine où
j’suis ? À Vireux, gros. Il fait… 10 degrés. Et puis bon euh… il fait
très bon. Très très bon euh… Y’a personne. C’est, c’est bien, hein,
quand même, parce que, bon euh… ben, parce qu’y a personne, quoi.
Hein ? Qwaaa ? Allez hop !

**NB**
Ouais, ouais, ché pas, j’connais pas, hein. Tsé moi, j’connais pas
beaucoup d’cuivres sur la région, hein.

11. Fractitude

(Nicolas Bruche) 5:17

Revenir à la liste des titres.

Dum da-ha…

Fils de pute !

**NB**
Ah ouais, mais, y’a pas qu’des cuivres, sinon. J’crois qu’y a… y’a
d’la guitare, aussi, il m’semble…

**FI**
Ouais Nico, c’est Faïcel. Bon, j’ai vu qu’t’as essayé d’m’appeler.
Écoute, chui encore à Charleville et j’pense que j’vais… rester là,
parce que j’vais manger avec ma frangine, là. Euh… donc ça va faire un
peu tard, là euh… pour euh… qu’on s’voit. Par contre, demain matin,
demain matin, c’est sûr que j’serai là. Donc euh… tu peux… Si t’as une
voiture, essaye de v’nir à Givet, qu’on boive hé… qu’on boive un café
à Givet. Et si tu peux pas, écoute, préviens moi et… et j’monterai à
Vireux demain matin, quoi. Voilà. Donc euh… pour ce soir, laisse
tomber. J’suis désolé. Tsélmec. C’est pas moi. J’suis désolé, c’est
pas moi ! Il s’énerve. C’est pas moi, hein, qui l’ai fait ! Bah bon
voilà quoi, c’est un peu d’l’imprévu. Euh… donc, tiens moi au courant
si demain matin tu peux. Si tu peux pas euh… j’t’enverrai une carte
postale. OK ? Allez !

Mais c’ui là, de toutes manières, bon euh… un jour ou… un jour ou
l’autre, faudra l’enfermer. Tu perds l’sens d’la réalité, quoi.

12. Le rêve d’Adrien

(Nicolas Bruche) 8:10

Revenir à la liste des titres.

**Rémy Galichet**
M’sieur Iboudghacen, là, v’nez m’voir, s’il-vous-plaît.

**FI**
Oui, alors. Bon, Nico. C’est Faïcel, là. J’t’appelais pour te dire
qu’j’descendais à Givet. Donc heu… ben, j’voulais savoir si c’était
quand même possible de s’voir, avant qu’tu… qu’tu quittes la Pointe.
La « Punta ». Hein ? Donc heu… écoute, j’vais… j’vais attendre que tu
m’rappelles. Puis euh… et puis, voilà… ah la la la la… Bon allez,
j’arrête mes conneries. À tout à l’heure, hein ? Peut-être. Allez.

**Présentateur**
Euh… Un d’Chaque. Y’a euh… long… longtemps, j’ai cru qu’vous vous
appeliez en fait « Plein de Sarcelles » ?

**Yvan**
Oui.

**P**
Hm hm.

**Y**
J’adore… Laurent, fais nous un p’tit p… tout p’tit peu l’intro d’
« Y’a plus d’chanson ».

**Laurent**
Euh… vous voulez faire maintenant, là, comme ça ?

D’accord.

**Matthieu**
Allez, c’est parti. On peut vous faire ça. Y’en a un peu plus, j’vous
l’mets quand même ?

**Y**
Hein, pas trop rapide, alors, hein ?

**Y&T**
Les derniers s’ront les premiers

**M&N**
To be free

**Y&T**
La positive attitude

**M&N**
Ma liberté de penser

**Y&T**
Au soleil

**M&N**
Je t’aime !

**L**
Tu seras bienvenue chez moi
’ien’enue chez moi-a-a
Étienne ! Étienne ! Étienne !
Ho, tiens bien !
Boys, boys, boys
I’m looking for a nation
Boys, boys, boys
I’m looking for lala…

(x2)

**P**
Merci, c’était donc… « 1 2 Chaque », accompagné spécialement pour
l’occasion par l’orchestre de Francis Lalanne. Merci Francis.

« 1 2 Chaque ». Tout d’abord, bonjour.

**1 2 Chaque**
Bonjour. Bonjour. Bonsoir.

**P**
Dis donc ?

**M**
Aïe aïe aïe…

**P**
C’était sympa votre chanson. Est-ce que vous allez en refaire une
après ?

**T**
Ouais, on va faire de la variété peut être plus longtemps.

**P**
On m’a dit que vous aimiez beaucoup les adolescents. C’est vrai ?

**Y**
Ah ouais, c’est vrai.

**P**
Et où est-ce que vous les trouvez ?

**Y**
C’est la cour de récré, un peu.

**P**
Mais dites-moi… c’est un p’tit côté pervers, quand même, tout ça,
nan ? Vous trouvez pas ?

**L**
Ouais, y’a un côté comme ça, ouais, c’est clair.

**P**
Ah, OK d’accord. Sinon… j’voudrais qu’on écoute un extrait d’votre
dernier album, mais j’hésite entre 2 titres… le premier et l’deuxième…

**Y**
Alors, vas-y, fais ton choix ?

**P**
Ben, ché pas, le premier alors. On écoute…

**Funk et Bière**
J’aurais voulu être un ar-tiiiste !
Pouvoir jouer mon…
Pour pouvoir faire mon numé-rooo !

**P**
Ah ouais euh… c’est vachement bien !

**Y**
Et on démarche avec ça.

**P**
OK. Alors, il paraît que… vous avez beaucoup de fans.

**Y**
Ah ouais, c’est vrai.

**P**
Mais malgré cela, y’a quelquechose qui vous révolte au plus profond de
vous même…

**Y**
Ah ouais, c’est vrai. Y’en a aussi qu’aiment pas c’qu’on fait.

**P**
Et toi Tedji, t’aimes… comment l’dernier album ?

**T**
J’aime bien, j’aime bien.

**P**
Et… t’aimes comment les deux choristes prépubères qui chantent sur
votre single ?

**T**
J’aime bien, j’aime bien.

**Y**
Ah ouais, c’est vrai.

**P**
Hum ! OK. Et… peux-tu nous parler du concert à St-Nazaire où tu as
montré tes fesses à tout le public ?

**T**
Ouais, en plus chui devant, c’est moi… c’est vrai qu’c’est moi la
star, un peu, hein…

**P**
Donc, vous assumez complètement.

**L**
Ouais, y’a un côté comme ça, ouais, c’est clair.

**P**
Et à quand votre premier concert euh… tous à poil ?

**T**
Ah c’est d’jà fait !

**P**
Ah ok. Je me suis laissé entendre dire… que vous alliez faire
prochainement un album avec Sim et Carlos euh… c’est vrai ?

**T**
Ouais voilà, donc ça c’est vraiment la grosse… la grosse envie.
Maintenant euh… voilà on s… courant 2007, y’aura l’album, et puis on
va… on va travailler d’ssus. Sinon, pour l’instant, l’actualité c’est
euh… le site.

**P**
Le site de cul ?

**Y**
Ah ouais, c’est vrai.

**T**
« undchaque.com ».

**P**
OK. Et… sinon, qu’est-ce que vous pensez de Francis Lalanne ?

**T**
Ha ha ha ha ha ha ha ha ha ! Hé, ha ha ha !

**Y**
Hé, hé, hé, hé…

**P**
D’accord… Est-il vrai que… vous faites aussi des shows euh… de
chippendales ?

**Y**
Ah ouais, c’est vrai.

**P**
Et… c’est quand votre prochain show ?

**M**
Le… 20 janvier !

**T**
Le 20 janvier au Chouchou Bar !

**P**
Vous avez un book avec les photos euh… ?

**T**
Moi-même, je mets un p’tit album en ligne, sur mon site.

**P**
Est-ce que vous aimez faire ça ?

**L**
Ah oui, oui, à fond.

**P**
Ça avait quand même plutôt mal tourné hein, votre show privé à
l’Élysée…

**T**
Je ne réponds pas du tout de ce live, hein ? Qu’on soit bien
d’accord ?

**P**
Alors, combien de temps il vous faut pour faire éjaculer un ministre ?

**M**
Alors, ça peut aller de 5 minutes à 45 minutes.

**P**
Alors, pour moi, combien de temps il vous faut ?

**T**
Ouais, on a jusqu’à quand, là ?

**P**
Et ben là, il est… 52, on a… encore… 5 minutes.

**L**
D’accord.

**M**
Allez, c’est parti. On peut vous faire ça. Y’en a un peu plus, j’vous
l’mets quand même ?

**Y**
Hein, pas trop rapide, alors, hein ?